Ce recueil de trois nouvelles met en scène le cher commissaire Adamsberg. Au cœur de l’été, il est aux prises avec un vieil huluberlu, qui s’installe, tous les matins, sur un banc devant le commissariat et qui n’en bouge pas avant 17 heures. Qui apporte son lampadaire, ses biscuits, et observe la vie du commissariat. Ce ne serait pas grave si, parallèlement, des lettres anonymes, par lesquelles l'expéditeur s'accuse d'un crime, n'atterrissaient pas régulièrement sur le bureau d'Adamsberg, qui, la nuit de Noël, « la nuit des brutes », s'était pris d'amitié pour un vendeur de vieilles éponges, témoin d'un crime malgré lui.